Agnès Diaz aimait les mauvais garçons milliardaires des romans d'amour qu'elle avait lus en grandissant et avait toujours voulu écrire à propos de ses propres mauvais garçons au cœur d'or. Maintenant, elle exprime en mots son fantasme de milliardaires alpha-mâles en buvant le mauvais café pour lequel elle avait pris goût durant ses années de journalisme. Son ordinateur portable et son chat persan blanc sont ses compagnons assidus à la recherche de son mauvais garçon à elle.